A 25 ans, Hatoko revient à Kamakura. Elle va reprendre la papeterie familiale et devenir écrivain public. Choix des mots, importance du papier, du timbre, de la couleur de l'encre, du stylo, chaque ingrédient est réfléchi afin de produire un effet parfait.
Au fil des rencontres avec ses clients, la jeune femme plonge aussi dans son passé et redécouvre sa grand-mère, son ainée qui l'a élevée avec tant d'exigence.
Encore une fois, Ogawa nous captive avec son univers. Le magasin devient un lieu de partages, de confidences, de minis drames. On déconnecte complètement en lisant ce livre, un vrai voyage au Japon. Un seul regret finir le livre. N'hésitez pas à lire ses autres romans qui vous offriront une parenthèse de lecture fort agréable.
Philippe Picquier, 2018 Public : adultes