Stan est sous le choc : son frère ainé Scott vient d'être arrêté. Il ferait partie d'un groupe de jeunes rebelles le GRUPP, qui bouleverse les règles établies et s'offre des moments de liberté en désactivant la puce qui règle les vies et détecte toute agitation corporelle. Stan découvre alors que la société où l'on peut vivre jusqu'à 120 ans n'est peut-être pas si idyllique que cela, intrigué, il veut en savoir plus.
Un roman de science-fiction, un polar mais aussi un beau portrait d'amitié entre frères. Cette dystopie mèle résistance, rebellion, amitié, à travers le regard naïf du jeune Stan mais aussi celui de son frère qui comprend qu'il doit accepter d'autres règles de jeu s'il veut survivre. Après Méto, Nox, Yves Grevet nous offre là un roman dense, captivant, terriblement addictif, une belle réflexion sur la liberté, si vite piétinée, et se revèle encore une fois comme une plume majeure dans l'édition de littérature junesse.
Syros, 2017 Public : ados à partir de 13/14 ans
Vladimir, dit Vlad, est heureux mais stressé d'aller dans un nouveau collège. Il va intégrer une classe Ulis. Pas facile de côtoyer les autres quand on un corps déformé par la maladie et qu'on ne maitrise pas ses gestes. Vlad a l'habitude des regards curieux et ne veut pas qu'on s'apitoie sur lui et il tombe amoureux.
Quand le père de Louise part, la jeune lycéenne se retrouve seule à gérer son petit frère, les cours mais aussi et surtout leur mère, malade. Comment tout concilier ? Etre adulte et en même temps vivre sa vie de lycéenne ? Il y a des moments difficiles et Louise doute, se réfugie dans son blog de poèmes.
Quand papa dit "Ca suffit la tablette , allez jouez dehors". Roro et Merle s'ennuient. Il n'y a rien à faire dehors, rien ne les tente, ne les intéresse. Pourtant il suffit de peu pour basculer dans la joie et bien s'amuser.
Quand son mari lui annonce que c'est fini, Pauline craque. Elle pense qu'il va vite changer d'avis mais il n'en est rien. Alors elle décide de lui envoyer des souvenirs, tous leurs beaux moments afin de raviver la flamme. Mais Ben partage-t-il le même avis ?